vendredi 10 février 2012

Changement et systémique : pourquoi la RSE est-elle un bide ?

Qu’évoque « Responsabilité sociétale des entreprises », pour nous ? Des activistes et des escrocs ? Les premiers ne parlent que d’empreinte carbone et de droits de la femme. L’économie et l’entreprise sont l’incarnation du mal ? Les seconds, souvent des multinationales de l’énergie, ont pour saint et modèle Enron, le pionnier de toutes les chartes d’éthique ?

Jamais la RSE ne donnera quoi que ce soit dans ces conditions. Si le changement rate, c’est parce que nous nous sommes enfermés dans un système vicié.

Car ce qui n’est pas durable, c’est, avant tout, les relations humaines. Nous sommes prisonniers de leur principe implicite : le conflit. Or, de même que notre écosystème ne peut se passer d’abeilles, l’écologiste a besoin de l’entreprise, et les services achats de sous-traitants.

La bonne façon d’aborder la RSE est de chercher à utiliser notre écosystème humain pour façonner un avenir plein de promesses pour les fortes équipes. Ne serait-ce que parce que cet avenir ne pardonne pas aux petits hargneux solitaires.

Compléments :
  • Le début de la série sur le changement et la systémique est ici.

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