vendredi 23 septembre 2011

iPhone

Il y a quelques temps je me suis converti à l’iPhone. Lorsque je donnais des cours de marketing, je me serais traité de « late adopter ».

Et, effectivement, je ne suis pas doué pour la nouveauté. L’iPhone n’a vraiment pas été aussi simple à maîtriser que je m’y attendais.
  • J’ai été surpris de voir que sa logique était différente de celles auxquelles j’étais habitué. La manipulation de l’écran avec les doigts demande aussi un apprentissage et la taille du clavier m’a fait comprendre que j’avais tort de penser que j’avais une main distinguée. Mais je m’y suis fait.
  • Reste une apparente incompatibilité d’humeur entre SFR (mon opérateur mobile) et Orange (ma messagerie), un accès à Internet sur lequel on ne peut pas compter, et une perte de contrôle d’Outlook à laquelle j’ai remédié en modifiant des options apparemment sans rapport (par contre l’intégration de gmail est épatante). Et aussi une sensibilité à fleur de peau qui déclenche des appels téléphoniques involontaires.
L’exploit d’Apple, à mon avis, est d’avoir réussi à mettre au point un système d’exploitation qui se lance en un clin d’œil. Il serait bien que les fabricants de PC s’en inspirent. 

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