lundi 21 février 2011

En attendant la crise ?

« La gestion de l’économie par l’attaque cardiaque fiscale n’est pas un remède très prudent. » dit The latest cop-out.

Les hommes politiques américains évitent avec soin les mesures impopulaires. Du coup, pas de réduction de déficit possible, avant une crise à la Grecque.

Sans crise un changement est difficile, effectivement. Mais la crise ne résout pas tout. Encore faut-il être prêt pour y répondre. Et alors, il y a peu de temps pour une réflexion démocratique (cf. la façon dont fut exploité l’attentat du 11 septembre). 

En tout cas, l’affaire révèle qu’il n’y a pas beaucoup d’hommes d’État parmi les élus américains.

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