dimanche 11 avril 2010

Malheurs mongols

Bitter toll. Les aléas climatiques déciment le cheptel mongol, et réduisent les hommes à la famine. Bouleversement post communiste :
La privatisation a signifié le démembrement des grandes coopératives et les propriétaires de troupeaux regrettent maintenant quelques-uns des bénéfices, sous-estimés, liés à leur taille  – sans parler, dans de nombreux cas, de l’accès au savoir-faire technique et de gestion (soviétiques) qui facilitaient l’exploitation pendant les hivers difficiles.
Mais le regret serait mal à propos. Le communisme maintenait un équilibre contre nature.

En tout cas, comme les réformes russes, ce changement a été particulièrement mal mené. 

Aucun commentaire: