mercredi 9 septembre 2009

Goldman Sachs touché par la grâce ?

Son patron critique l’utilité sociale de certaines pratiques bancaires, et comprend l’indignation populaire.

Manœuvre perfide ? En tout cas, il me semble qu’en revenant à une évaluation sociale des bénéfices de l’entreprise, en abandonnant la croyance aveugle en l’optimisation des revenus de l’actionnaire, en l’entreprise comme bien absolu, donc à une politique de laisser faire, on retrouve la raison ; et le secteur financier échappe à un ostracisme menaçant.

J’y vois aussi la pression de la société, à laquelle il est difficile d’échapper.

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